Les victimes du séisme et de l'insécurité oubliées dans des camps, s'indigne le RNDDH

14 années après le tremblement de terre du 12 janvier 2010, les victimes du séisme ainsi que les victimes de l’insécurité se côtoient dans les camps, dans l’indifférence totale des autorités étatiques, s’indigne le Réseau national de défense des droits humains (RNDDH).

Sur les 60 sites d’accueil de déplacés localisés dans le département de l’Ouest, 25% d’entre eux accueillent des victimes du séisme du 12 janvier 2010, selon les chiffres du RNDDH publiés dans un rapport en marge du 14e anniversaire du séisme dévastateur de janvier 2010. Sur les 60 sites, 75% d’entre eux accueillent des victimes ayant fui leurs zones de résidence en raison de l’insécurité. 

Le RNDDH

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