« Les gangs bénéficient d’une permissivité qui leur fait apparaître comme des complices des autorités de l’État. Il n’y a pas l’ombre d’une réflexion stratégique au niveau de l’État en collaboration avec la société pour faire face à l’insécurité », a lâché Pierre Robert Auguste, critiquant ouvertement le laxisme et l’indifférence des autorité