« Nous pensons que les discussions qui ont lieu au niveau central doivent être véhiculées dans les régions. En général, quand cela marche à Port-au-Prince, les régions n’en bénéficient pas et quand cela ne marche pas à Port-au-Prince, les régions sont les principales victimes », a argumenté Kesner Pharel, justifiant l’organisation de ce sommet dans le grand Sud.
« Nous avons déjà
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