Lundi, au lycée Anténor Firmin, l’ambiance scolaire n’est pas au rendez-vous. Si la direction ouvre ses portes, c’est pour permettre la poursuite des activités administratives. Rien n’est mis en place pour un fonctionnement normal de cet établissement scolaire, regrettent les responsables de ce lycée qui devait accueillir pas moins de 320 élèves cette année. Dans la cour, des centaines de réfugiés sont remarqués. Chacun s’oc
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