un soir en dentelle
au goût poudreux
de ton épaule dans la glace
j’ai entendu la mort dans ses phonèmes de craie
le vent crachant dans les venelles
le vent crachant dans mes poumons
j’ai dit adieu
au papier écolier
à la trace d’une chevelure
laissée par la marée
de tes baisers su
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