L’œil inquiet la queue raide
Les chiens ont vidé les lieux
Avec les enfants et les femmes
Et les baluchons amassés en hâte
Les tympans martelés d’échos funestes
Le cœur battant dans la gorge
Il soufflait dans les rues qu’on désertait
Une brise glaçant les tripes
Brûlant la plante des pieds
Faisant courir à ras du sol
Des débris de vie incan
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous