Au nombre des intervenants de la deuxième édition du Colloque de la FIFA sur le football féminin, tenu à Gadigal, Sydney, en Australie, les 18 et 19 août derniers, il faut citer Monique André, membre du Comité de Normalisation de la Fédération haïtienne de football (FHF). Dans une interview exclusive accordée au journal Le Nouvelliste, elle en a profité pour évoquer les différents points qu'elle avait abordés dans son intervention, entre autres, la qualification historique des Grenadières, l'engouement de plus en plus croissant pour la pratique du football féminin et les retombées économiques de la dernière Coupe du monde particulièrement pour nos Grenadières.
Le Nouvelliste : Vous étiez invitée à participer comme panéliste au 2e colloque de la Fifa sur le foot féminin en Australie. Quel était le but de cet événement sportif ?
Monique André : L’objectif de cet événement était de capitaliser sur la ferveur et l’élan générés par la plus grande Coupe du Monde Féminine de la FIFA organisée en Australie et en Nouvelles-Zé
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