11 heures. Dans la cour du gymnasium Vincent chacun essaie de s’accrocher à la vie et de trouver une occupation. Certains dorment encore sous les tribunes, d’autres discutent des dernières rumeurs entendues sur leur quartier alors que les enfants, eux, insouciants, jouent. Linges, vêtements, morceaux de cartons sont étalés pêle-mêle au soleil, rappelant un camp de réfugiés du post-séisme du 12 janvier 2010. La nuit précédente n&
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