Les conséquences de la crise haïtienne, aussi graves qu’elles soient, n’étonnent plus. Il est une évidence que la vie des Haïtiens ne compte pas. Les autorités payées et entretenues pour gouverner les pays assistent, les bras croisés, aux pires exactions des gangs contre des enfants, des personnes du 3e âge pour citer que les couches les plus vulnérables dans la population.
On ne compte plus les réunions de haut niveau à l’ONU, &agra
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