Une fugue, à la fois géographique et musicale. Une belle histoire d’amitié et d’amour pour la terre natale. Une femme déterminée à donner le pain de l’instruction aux enfants de Cité Soleil. Un brûlant éloge à la vie, à la passion. Une langue ou le merveilleux côtoie la nostalgie. Voilà ce que l’on découvre au détour de “La perle de l’impératrice”
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous