Les ouvriers de la sous-traitance ont été, le mercredi 10 mai 2023, à leur troisième journée de protestation dans les rues de Port-au-Prince pour exiger un ajustement substantiel du salaire minimum. Fixé en février 2022 par le gouvernement à 615 gourdes après une série de mouvements de protestation au cours desquels les ouvriers réclamaient 1 500 gourdes, désormais ces derniers exigent un salaire minimum de 2 500 gourdes.
Pour cette troi
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous