Le Premier ministre Ariel Henry, très près des micros ces temps-ci, commet des prises de paroles qui confortent son statut peu enviable de responsable hors sol et décalé. Incapable depuis 20 mois d’enrayer la violence des bandes armées qui volent, violent, tuent, kidnappent, brûlent, asphyxient l’économie, compromettent la circulation des personnes et des biens dans la région métropolitaine de Port-au-Prince ou dans l’Artibonite, M. Henry parle de tourisme
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