A Port-au-Prince, c’est le ballet diplomatique improductif pour résoudre la crise, les conquêtes quotidiennes de territoires par les gangs, les positionnements politiques, ce petit jeu d’échec du pire qui défraye la chronique alors que prend forme une déforestation ordonnée, via des « incendies criminels » dans des parcs, des « aires protégées » dont les conséquences, sans compter les effets du réchauffement climatique, menacent la survie même des populations dans tout le pays.
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