Si le Premier ministre Ariel Henry a reconnu, lors de la Journée internationale de lutte contre la corruption, le 9 décembre 2022, que « la corruption constitue un obstacle systémique à la réalisation de la démocratie, à l’État de droit, ainsi qu’aux droits humains», Haïti n’envoie pas des signaux clairs quant à son engagement réel pour éradiquer ce fléau. Dans le classement de l’IPC depuis 2015, le pays s’installe en permanence dans la zone rouge « des plus corrompus » avec des scores compris entre 22 et 17 sur 1
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