Il est midi. Carrefour de l'aéroport. Les bruits des marchands ambulants, le brouhaha de la foule, la pétarade des motos et la voix des bèf chenn qui hèlent les passagers animent la zone. Nous sommes comme au milieu du marché de la Croix-des-Bossales. Les rues sont encombrées de voitures, de tables, de brouettes, de «laye», de «bak fritay». Des produits alimentaires, des vêtements, des ustensiles de cuisine, etc. L’étalage se fait pêle-mêle sur la chaussée. Je m’installe dans un minibus qui embarque pour le Cap-Haïtien
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