« Jusqu’à présent, il y a une maîtrise du financement monétaire. Notre objectif cette année est de faire passer ce financement monétaire qui représentait 2,5 % du produit intérieur brut (PIB) à 1,3 % . Ce financement ne doit pas dépasser 33 milliards de gourdes. Si nous pouvons faire mieux, nous le ferons. C’est déjà un grand pas par rapport à l’année dernière où le financement monétaire du déficit public avait atteint 47 milliards de gourdes », a indiqué Michel Patrick Boisvert, qui a expliqué pourquoi, avec 38 milliar
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