« Gen kanpe ? », lance Harry Luc pour une énième fois aux fêtards assoiffés, entassés devant le stage érigé cette fois en plein milieu de la cour de l’hôtel. « Pa gen kanpe », répondent-ils en cœur. Et ils n’ont pas menti.
Excités ces party people qui fourmillent dans tous les coins de l’espace, ont, du début à la fin, dansé comme si leur vie en dépendait. Comme pour rattraper toutes ces fois où ils n’ont pas pris le risque de sortir de chez eux pour s’amuser, à cause de l’insécurité et les kidnappings. Toutes ces fois où le