Mi-octobre, le Village artistique de Noailles, ses artisans, habitués aux attaques, ont cette fois reçu le ciel sur la tête. De certains de ses 75 ateliers, il ne reste que des pans de murs avec des impacts de projectiles, des tôles calcinés, des marteaux et burins orphelins des mains expertes qui donnaient forme au métal dans ce creuset de la création artisanale.
L’agitation des ateliers, le bruit des meuleuses ont fait place net au silence. Et à l’odeur de cadavre en décomposition. Le fossoyeur sous-traité par l
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