Le ministre des Affaires étrangères, qui assurait que tout était globalement sous contrôle le 26 septembre, s’est fait, ce 17 octobre 2022, le porte-parole d’un peuple qui crie sa détresse, qui ne vit pas mais survit.
« J’ai la délicate mission de porter, devant le Conseil de sécurité, le cri de détresse de tout un peuple qui souffre et de dire, à haute et intelligible voix, que les Haïtiennes et les Haïtiens ne vivent pas. Ils survivent. Je parle au nom des 4 millions d’enfants qui n’ont pas pu aller à l’école à c
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