À l'instar de multiples institutions sanitaires, les centres GHESKIO réduisent considérablement leurs heures de travail, à force que les crises, peyi lòk et pénurie de carburant, prennent de l'ampleur dans le pays. « Notre personnel n'arrive pas à se déplacer normalement pour venir travailler, cela affecte le fonctionnement des différents centres», rapporte le directeur des centres GHESKIO, le Dr Jean William Pape.
Les centres GHESKIO reçoivent en moyenne 10 000 patients. Avec la pénurie de carburant, le nombre var
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