Toujours rares dans les stations d’essence, les produits pétroliers s’achètent à prix fort à travers les rues de la capitale et des villes de province. Motocyclistes, automobilistes et passagers sont encore loin de voir le bout du tunnel. Cette rareté perdure davantage fait augmenter les tarifs appliqués pour les différents circuits du transport en commun. Aux heures de pointe, les habitants de Carrefour qui mènent leurs activités au centre-ville doivent avoir au moins 100 gourdes comme frais de transport pour rentrer chez eux. Il le