«125 gourdes ! Ak tout kisa ? », répond un homme à une marchande de pain, à quelques encablures d’une station d'essence sur la route de Frères, à Pétion-Ville. Un simple « se pa mwen » de la marchande, entourée de ses pairs et d’autres détaillants de produits alimentaires, détend l’atmosphère, calme cet ouvrier de la construction qui rentrait chez lui en fin d’après-midi.
« Les échanges sont souvent tendus à cause de la flambée du prix du pain », a confié à Le Nouvelliste Pierre Jean Baptiste, qui e
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