Depuis le mercredi 6 juillet, aucune station d'essence dans l’aire métropolitaine et les autres villes situées au nord de la capitale n’est alimentée en produits pétroliers. Le gallon de gazoline est passé de 250 gourdes à 1 250 gourdes et le diesel de 353 gourdes à 750 gourdes sur le marché informel. Résultat : les chauffeurs de transport en commun ont doublé les prix des courses dans la plupart des trajets. « Même avec cette augmentation démesurée, on n’arrive pas à trouver de la gazoline. On n’a d’autre&nb
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