La faiblesse de la justice haïtienne a atteint son point culminant avec la prise en otage du palais de justice de Port-au-Prince par des bandits. Vingt jours après, le ministère de la Justice et de la Sécurité publique, la Police nationale d’Haïti (PNH) et tous les organes de gouvernance du système judiciaire se croisent les bras et acceptent visiblement la défaite du pouvoir judiciaire.
Comme si la justice a cessé d’être un service public indispensable dans le pays, la prise en otage du palais de justice est traitée comme u
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