« Vous n'avez plus une faute à commettre », lançait Adolphe Thiers à Napoléon III quelque temps avant la débâcle française face à la Prusse en 1870. Cet avertissement peut être adressé à Ariel Henry car nous sommes face à une urgence pathétique. Le pays s'enfonce dans le malaise et la désespérance. Nous nous approchons rapidement des circonstances qui rendront inévitable la mise sous tutelle, une fois de plus, de la première république noire du monde. Les possibilités d'accord entre les accords sont plus porteuses de promesses que de
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