Aux brises sucrées du printemps,
Bergers des nuées et des vents,
Les enfants aux cheveux de miel
Mènent paître leurs cerfs-volants
Dans les pâturages du ciel.
Parfois sans prévenir, ces lâches
De cerfs-volants sournois vous lâchent,
Ils franchissent une rivière,
S'abattent dans une clairière,
Tant la liberté leur est chère.
Parfois aussi, et c'est soudain,
Ils emportent toujours plus loin
Celui qui courait les sainfo
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