Indignés et au "chômage" depuis la paralysie du palais de justice à cause de l’insécurité, ces dizaines d'avocats, vêtus de leur toge et accompagnés de pancartes, mettent la pression sur le gouvernement afin de délocaliser le palais de justice de Port-au-Prince. « Justice sacrifiée, justiciables méprisés, avocats révoltés », peut-on lire sur une pancarte. « Le dysfonctionnement de la justice est à l’avantage des dirigeants corrompus. Nous ne troquerons pas nos toges pour rien au monde », ce sont entre autres
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