« Cet atelier fait partie d'un programme appelé « Bay lavi sans », porté par l'Association Quatre chemins. Ce dispositif est une manière de réintégrer les ex-détenues au niveau de l'art. L'idée première de l'atelier ne réside pas seulement dans un spectacle, mais il s'agit de les introduire à une nouvelle forme d'expression », a confié le chorégraphe David Charlier, précisant qu'il voudrait aussi faire de l'atelier une sorte de thérapie pour ces femmes.
« Personnellement, je cherchais à développer de l'art-th
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