Les usines textiles du Parc industriel métropolitain et celles de la route de l’aéroport n'ont pas pu travailler pour une deuxième journée consécutive ce vendredi. Dans une note publiée mercredi 23 février, l’Association des industries d’Haïti (ADIH) avait expliqué que cette mesure a été adoptée en vue de protéger les ouvriers et les installations. Depuis trois semaines, des syndicats d’ouvriers protestent pour exiger 1500 gourdes comme salaire minimum. L’ADIH a dit déplorer et condamner des attaques visant les usines.
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