Les ouvriers de la sous-traitance réclament 1 500 gourdes de salaire minimum journalier

La route de l’aéroport est en ébullition depuis mercredi 9 février.

Jean Daniel Sénat
Par Jean Daniel Sénat
10 févr. 2022 | Lecture : 3 min.

La route de l’aéroport est en ébullition depuis mercredi 9 février. Les ouvriers des usines de la Société nationale des parcs industriels (SONAPI) et d'ailleurs manifestent et réclament le salaire minimum journalier de 1500 gourdes. La grille salariale en vigueur varie entre 250 et 550 gourdes, dépendamment du segment considéré, et a été fixée le 1er novembre 2019 par un arrêté signé par le président Jovenel Moïse et le Premier ministre a.i. Jean Michel Lapin. Les syndicalistes mettent en avant la cherté de la vie et la hausse de

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