Elles sont devenues folles
Ces bêtes fauves assoiffées de pouvoir
Dans la forêt profonde
Dans la nuit sombre des douleurs
La tempête défonce les portes
De l’innocence dans le désespoir éternel
Dans la colère des ouragans
Le sang cramoisi des innocents
Coule à flot dans les Villages de Dieu.
Dans les rues sans trace d’humains,
Sur l’asphalte vide de toute humanité
La vie claudique et se vide de son sens.
Les artères d
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous