Il y a de cela 90 ans, aux élections du dimanche 10 janvier 1932, les Gonâviens, à l’instar des autres habitants du pays, avec leurs bulletins de vote, sont appelés à élire un magistrat communal et un député. Dans la réalité de ces joutes électorales, à La Gonâve, deux camps sont constitués: Le camp du pouvoir dominé par des figures de proue telles Nemours Vincent, Constant Polynice, le Dr. Névarin Célestin, Joseph Delouis et leurs zélés partisans, et le camp de l’opposition nationaliste intégrale régi par Joseph Jolibois Fils qui se bat
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