Laferrière et Lahens : le récit postsismique comme lieu de construction d’une vie nue (troisième partie)

Laferrière et Lahens : la binarité du monde Dans Tout bouge autour de moi, Laferrière pose le problème de la temporalité en termes de zones frontalières.

Jobnel Pierre
14 janv. 2022 — Lecture : 5 min.
Laferrière et Lahens : le récit postsismique comme lieu de construction d’une vie nue (troisième partie)

Dany Laferrière
Photo : Claude Bernard Sérant

Laferrière et Lahens : la binarité du monde

Dans Tout bouge autour de moi, Laferrière pose le problème de la temporalité en termes de zones frontalières. Le même constat peut être observé chez Lahens. Dans la soirée, des survivants ont dû aller habiter sur des places publiques et dans d’autres lieux plus sécuritaires de la ville après le séisme. De multiples lieux (places publiques, terrains de soccer, cours d’écoles et d’églises), envahis par les populations urbaines de Port-au-Prince, représentent une forme d’

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