Samedi soir. 23 heures et 30 minutes. Les portes du hall de l’hôtel El Embajador s’ouvrent à chaque instant, sur des hommes et des femmes, tout de noir vêtus et sur leur trente et un. Robe et sandales à talons pour les dames, chemise, pantalon et blazer pour messieurs. Ils semblent oublier, majoritairement, qu’il s’agit d’un bal masqué. Mais ce n’est pas trop grave. Ce détail ne va pas changer le « mood ».
Le temps d’un selfie ou d’une photo de groupe pour immortaliser ce moment, les yeux cherchent déjà la dir
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