Sylvain Salnave et nous

À l’évocation du nom de Sylvain  Salnave, je ne puis m’empêcher de fredonner  le  couplet suivant que des fillettes, sautant à la corde, récitaient dans le quartier de Jubilé, où, enfant, j’ai habité brièvement, à Jérémie : « Sylvain Salnave s’est sauvé samedi soir, sans souper, sans souliers, sans saluer sa sœur Suzanne.

Ericq Pierre 
08 oct. 2021 — Lecture : 3 min.
Sylvain Salnave et nous

Le Nouvelliste

À l’évocation du nom de Sylvain  Salnave, je ne puis m’empêcher de fredonner  le  couplet suivant que des fillettes, sautant à la corde, récitaient dans le quartier de Jubilé, où, enfant, j’ai habité brièvement, à Jérémie :

« Sylvain Salnave s’est sauvé samedi soir, sans souper, sans souliers, sans saluer sa sœur Suzanne. » 

C’est ainsi que j’ai fait pour la première fois la connaissance de Salnave. Comme on peut le constater, tous les mots de ce couplet commencent  par la lettre

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