À l’évocation du nom de Sylvain Salnave, je ne puis m’empêcher de fredonner le couplet suivant que des fillettes, sautant à la corde, récitaient dans le quartier de Jubilé, où, enfant, j’ai habité brièvement, à Jérémie :
« Sylvain Salnave s’est sauvé samedi soir, sans souper, sans souliers, sans saluer sa sœur Suzanne. »
C’est ainsi que j’ai fait pour la première fois la connaissance de Salnave. Comme on peut le constater, tous les mots de ce couplet commencent par la lettre
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