Je viens de terminer d’un trait, avec énormément de plaisir, mais une nostalgie certaine, le dernier roman historique de Michel Soukar : « Sylvain Salnave, la douce-amère »
Michel qui, pour beaucoup, se passe de présentation est, pour ceux qui l’ignorent, un écrivain prolifique, un historien de renom, un analyste politique avisé, un journaliste engagé, un homme au courage éprouvé qui nous offre, cette fois-ci, un très bel essai qui se veut être autant l’histoire de Salnave que celle de Boisrond Canal. Je m’abstiendrai
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