Soukar plante le lecteur dans l’univers de Sylvain Salnave dont l’acenssion à la présidence et l’exécution sur les ruines fumantes du Palais national ont en commun des fulgurances qui rendent son destin exceptionnel. Le grand écart est mis en mots, de l’ascension au peloton d’exécution commandé par Boisrond Canal, le protagoniste.
Le Salnave demi-dieu des masses qui entre en triomphateur sur Port-au-Prince est source de curiosité. Il est observé, déshabillé, pénétré par des « yeux gourmands
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