Pierre Théoma Boisrond Canal, ce politique influent, sur son habitation à Frères, « se souviendra de l’entrée triomphale de Sylvain Salnave à la capitale en cet après-midi ensoleillé d’avril 1867». Un homme aussi sévère à l’égard des possédants et qui se proclame protecteur du peuple dérange les privilégiés comme Canal. Il serait mieux à six pieds sous terre. Politicien rompu aux arcanes de la république, homme d’affaires futé, Canal flaire ce colis comme un grand danger.
« Sylvain Salnave, la douce amère »,
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