« Soucieux de la permanence et de l’équilibre entre les trois pouvoirs de l’État, codépositaires de la souveraineté nationale », près de 400 magistrats ont signé une pétition soumise à l’attention du Premier ministre Ariel Henry, pour l’installation de la 4e judicature. Depuis le 3 juillet dernier, le Conseil supérieur du pouvoir judiciaire, organe d’administration, de contrôle et de discipline des magistrats, est dysfonctionnel après la fin du mandat de la troisième judicature.
Malgré l’élection des nouveaux
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous