« Je pense que c’est tout à leur honneur qu’on puisse faire la grande première de Boyo à Miami. Parce que même au niveau de la préproduction, quand je devais construire le projet, la diaspora était debout comme un seul homme pour l’accueillir. C’est un projet qui leur tient à cœur. La diaspora reste cette partie de notre démographie qui est totalement avisée par rapport à ce qu'un tel projet peut apporter à notre culture et surtout en ce qui a trait à ce besoin constant de demeurer plus proche d’Haïti », explique Samuel