Le cri d’un bébé nous alerte en nous approchant de la tente. Une petite fille d’un an avec un spika collé à sa ceinture pleure à cause de la température. À midi environ le soleil est à son zénith, la chaleur monte sous cette tente placée dans la cour de l’hôpital de Médecins sans frontières à Tabarre où sont logés des malades exéatés venus du grand Sud du pays, frappé par le séisme du 14 août. Sa maman tente vainement de l’apaiser avec un éventail malgré l’installation de quatre ventilateurs sous ce chapiteau. Elle est obligée de rest
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