Dans les semaines et les mois qui ont suivi le tremblement de terre de janvier 2012 on a vu des formes de solidarité de la part des Haïtiens. Ces actions n’ont peut-être pas été suffisamment valorisées par la presse haïtienne et ont été quasiment ignorées par la presse internationale.
Il s’agit aujourd’hui de renouveler ce genre d’actions. De les mutiplier. Il s’agit aussi de les faire connaître. De nous-mêmes. Et des autres.
De l’aide, oui. Nécessaire. Indispensable sans doute dans certains domaines. M
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