En ce mois d’août, je m’intéresse particulièrement à une peinture à l’huile de Frankétienne que l'ancien directeur de l'UNESCO à Port-au-Prince, Bernard Hadjadj, m'avait envoyée pour illustrer son poème paru dans les colonnes de Le Nouvelliste. L'image représente une fragile embarcation voguant sur la mer.
Frankétienne écrit sur ce tableau à l’instar de ses devanciers, Hector Hyppolite et Philomé Obin, une phrase qui oriente l’esprit du regardeur. À gauche de la toile mesurant 16 x 24 pouces, il i
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