Les groupes armés de Martissant s'affrontent depuis deux mois. Ils observent certaines fois des moments de répit, comme lors des examens d'Etat la semaine dernière. Puis, reprennent les hostilités. La population, les policiers au sous-commissariat, les écoles, les églises, les hôpitaux, les entreprises, bref, tout le monde est parti de la zone. Réfugiés au centre sportif de Carrefour depuis plus de deux mois, une partie des déplacés de Martissant commencent à perdre espoir et la violence risque de s'installer dans le camp.
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