L’Association nationale des greffiers haïtiens (ANAGH), dans une note rendue publique le dimanche 1er août, demande « aux autorités compétentes de prendre toutes les dispositions nécessaires en vue de doter le greffe du parquet près le tribunal de première instance de Port-au-Prince et celui dudit tribunal de chambres sécurisées et de coffres-forts destinés à conserver les pièces à conviction, afin que les commis parquets et les greffiers ne soient victimes, ou encore utilisés comme des boucs émissaires
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous