Vendredi 23 juillet 2021. Il est midi passé. À peine la partie civile des funérailles du président Jovenel Moïse terminée, des officiels, des fonctionnaires de l’Etat se sont rués vers la sortie où s’était formé un attroupement d’individus en colère. « N’avez-vous pas honte ? Où étiez-vous avec vos armes quand Jovenel avait besoin de vous ? Bande d’assassins! », hurle un jeune homme, écœuré qu’aucun responsable du système de sécurité public n’ait démissionné.
« J’espère que Barbecue vous tuera. J’espère que vo
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