Après avoir goûté les poèmes et les prières choisis par Hérold Toussaint, une postface ne peut qu’honorer les mots qui lient à l’ami, si loin et si proche, parce que les mots, noués aux racines du cœur, résistent à l’absence, au temps, à la désespérance aussi, celle qui pourrait frapper, une nouvelle fois encore, cette chère Haïti. Hérold Toussaint traduit bien cette intime conjugaison de la gratuité de la poésie et de la gratuité de l’amitié : « L’amitié est la chanson de deux cœurs / qui choisissent la gratuité pour bousso
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