Il est des romans qui vous captivent si bien que, au bout d’un moment, on ne sait même comment on y est entré. Quel personnage, quelle réplique, quelle idée ou encore quelle poésie nous a emportée. « Pourquoi tu danses quand tu marches » (Mémoire d’encrier, 2019) est de ceux-là. Le roman est constitué de chapitre très court, un puzzle qui nous entraine à Djibouti vers les années 70.
«Je vais te raconter le pays de mon enfance.». Le ton est donné. Sur le chemin de l’école, Béa, une fillette de 7 ans questionne son
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