Durant les cérémonies des obsèques de mon beau-frère Gérard Gourgue en l’église Christ-Roi, à Port-au-Prince, régnait une ambiance mystique, symbolique et indéchiffrable, amplifiée par les accoutrements liturgiques d’un évêque avec son bâton pastoral, de prêtres et de diacres concélébrants, tous parés de leurs aubes, étoles, chasubles, capes, dalmatiques et chapes. Ils entonnaient des chants grégoriens en français et en latin in commémoration omnium fidelium defunctorum. Quoiqu’en étant un ancien élève du Petit Séminaire Collège
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