12 janvier 2010. Quelques minutes après le tremblement de terre, le président René Préval fait le tour de certains quartiers de la capitale. Assis derrière une motocyclette, il voit de ses yeux l’ampleur des dégâts. Ce jour-là, il se rend sur le site de deux institutions: le Parlement -où des élus et des employés sont pris au piège du bâtiment effondré- et à l’hôpital de l’Université d’État d’Haïti. L’immense complexe hospitalier a un genou à terre et des étudiantes en sciences infirmières appellent à l’aide sous les décombres de leu
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